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31 mars 2025

Les écoliers : la mère d'Amandine face à la directrice de l'école

(english below) Ainsi qu'elle l'avait dit à Amandine mardi dernier (revoir ICI), une fois de retour dans son bureau, Mme Robinson, la directrice de l'école, a aussitôt téléphoné à Mme Olson afin qu'elles aient un nouvel entretien au sujet de la discipline - ou plutôt de l'indiscipline - de la fillette.

Comme pour les autres entrevues de ce genre, Mme Olson a annulé et déplacé leur rendez-vous deux fois de suite, sous prétexte qu'elle est débordée avec les imprévus de la gestion du supermarché, et c'est seulement cet après-midi qu'elle s'est rendue à l'école.... sans rendez-vous, bien qu'elle eu téléphoné ce matin pour en fixer un à la date de mercredi matin !

 

Lorsqu'elle est arrivée, le maire, James Walpole, était dans le bureau de Mme Robinson. Lorsque Mme Olson a frappé, puis est entrée sans autre forme de procès, il s'est levé, l'a saluée, puis s'est retourné vers la directrice en lui disant qu'ils continueraient leur conversation plus tard.

- Asseyez-vous Mme Olson. Laissez-moi un instant pour afficher le dossier d'Amandine ; dans la mesure où nous ne devions nous voir que mercredi, je ne l'avais pas préparé.

- Je suppose que vous vouliez encore me voir au sujet d'Amandine ? Ma petite princesse est pourtant un ange de patience avec tout ce qu'elle doit supporter à cause de sa maladie. Je suis vraiment agacée que vous ayez toujours des récriminations à son sujet. On voit que vous ne savez pas ce que c'est que d'être malade comme elle l'est, la pauvre, coincée dans son fauteuil alors que ses camarades peuvent jouer et courir comme ils le veulent et qu'elle se plaint qu'ils la laissent toute seule dans son coin pendant les récréations. 

- Asseyez-vous, Mme Olson, nous allons parler d'Amandine, en effet. Et, rassurez-vous, nous savons très bien quelles sont les difficultés auxquelles Amandine et vous devez faire face, et croyez-moi, nous en avons toujours tenu compte dans notre évaluation et notre approche envers votre fille. Mais en ce qui concerne le fait que ses camarades la laissent "toute seule dans son coin" pendant les récréations, il n'en tient qu'à elle en grande partie, et vous le savez puisque je vous l'ai déjà dit. Son attitude vis-à-vis de ses camarades ne les incite pas à l'entourer, réplique posément Mme Robinson.

- Qu'est-ce que vous avez encore à lui reprocher cette fois-ci ? 

- Rien de nouveau que son indiscipline et son impertinence, Mme Olson, comme à chaque fois. Ainsi que son agressivité verbale. Toutefois, bien qu'à chacune de nos entrevues vous ayez promis de la chapitrer à ce sujet, le problème empire. Elle se moque de ses camarades, de leur aspect ou de leur tenue, et même des membres de leurs familles et de leurs origines ; elle en est même arrivée à insulter un nouveau venu devant moi, et à proférer une grossièreté à mon égard.

- Mais je vous ai déjà dit que c'est votre travail de lui faire savoir que ça ne se fait pas. Je travaille, je ne suis pas avec elle toute la journée pour lui dire ce qui se fait ou ce qui se dit, ou pas, c'est votre travail, pas le mien.

- Non, Mme Olson ! Je vous l'ai déjà expliqué : c'est à vous de lui apprendre à se comporter poliment et respectueusement en société ; notre travail à nous, c'est de lui enseigner des matières scolaires et appliquer des sanctions si malheureusement elle se comporte mal.

- Des sanctions ! Vous y allez fort. Ce n'est qu'une enfant !

- Dans le dossier qui nous a été transmis par l'hôpital des enfants où elle a fait son CP, il est indiqué qu'elle y a eu de nombreux problèmes de discipline et de comportement vis-à-vis de ses camarades. Et le mot "harcèlement" y est même utilisé dans un des rapports d'un instituteur remplaçant. 

- Bien sûr, cet homme-là n'aimait pas Amandine. C'était un de ces immigrants qui en sont encore à punir les enfants s'ils n'obéissent pas au doigt et à l'œil à l'école, et il ne supportait pas qu'elle plaisante de choses et d'autres. Heureusement qu'il n'a pas duré longtemps celui-là.

- Mme Olson, je ne veux pas me mêler de vos opinions politiques ou sociales, qui ne me regardent pas, mais je pense que le fait que votre fille ait répété à plusieurs reprises à des enfants de l'hôpital qu'ils étaient des.... disons poliment "des gens de couleur", ça ne lui est pas venu tout seul. Elle l'a obligatoirement entendu dire, c'est la raison pour laquelle elle le répétait. Et dans le cas présent, pour lequel j'ai demandé à vous rencontrer, c'est qu'elle a insulté le nouvel élève en le traitant de BS devant moi, puis ensuite dans la cour de récréation où elle le lui a répété au moins 10 fois, provoquant la colère de cet enfant. Colère qui n'était pas tolérable, et qui a été réprimandée tout autant que le comportement d'Amandine qui n'était pas non plus tolérable. 

- Mais enfin, ce gamin dont vous parlez, c'est bien un enfant de BS... Le maire est même venu me demander si je voulais embaucher son ivrogne de père au supermarché parce que sa mère était 'fatiguée" parce qu'elle cumule deux emplois de serveuse... dont un dans un bar la nuit ! 

- Mme Olson, la mère de Simon vient d'être embauchée pour le service de la cantine scolaire, elle n'aura plus à cumuler deux emplois de serveuse, ce qui, je le précise, n'avaient rien de répréhensible car il faut bien faire vivre sa famille. Et je pense que le maire Walpole vous a aussi expliqué le traumatisme que le père de Simon a vécu, qui l'a fait plonger dans la dépression et ce qui s'en est suivi, et pourquoi il faut l'aider à se réinsérer autant que nous le pouvons, pour l'aider, et ainsi aider son épouse et l'enfant.

Mme Olson se lève d'un bond.

 - Oui oui, bien sûr ! Il faut aider untel, et untel, et encore untel, avec nos impôts, pendant qu'ils se prélassent chez eux en regardant la télé et que moi je travaille du matin au soir six jours sur sept, et que je paye des impôts pour entretenir ces gens "qu'il faut aider".  Et moi, qui va m'aider et se préoccuper de mes soucis, hein ? J'ai un supermarché à faire tourner et des factures à payer. Et en plus, on me harcèle parce que ma fille s'amuse à taquiner ses camarades de classe ! On va où comme ça ?

C'est au tour de Mme Robinson de se lever.

- Mme Olson, Amandine ne fait pas que "taquiner" ses camarades, elle se moque d'eux, de manière assez méchante, ce qui n'est déjà pas tolérable. De plus, elle a traité de "BS" comme vous dites un enfant qu'elle ne connaissait même pas encore et à qui elle n'avait donc rien à reprocher. Et pour enjoliver le tableau, elle m'a traitée de "vieille bique". À ma place, que feriez-vous ? 

- Mais voyons, ce sont des peccadilles, des plaisanteries d'enfants. Donnez-lui quelques exercices de conjugaison à faire, et passez à autre chose. Amandine n'est pas méchante, elle aime juste rire et blaguer, il ne faut pas prendre au premier degré les choses qu'elle dit : elle m'en dit plein à la maison, je n'en tiens pas compte, c'est tout, ça lui passera en grandissant. La pauvre petite, avec sa maladie, elle n'a pas bien l'occasion de s'amuser autrement qu'avec ses plaisanteries et ses taquineries, elle essaie de provoquer ses camarades pour les forcer à jour avec elle, la pauvre est tellement laissée de côté toute seule dans fauteuil roulant. Faites comme si vous n'aviez rien entendu, et tout ira bien.

 - Non Mme Olson, je ne ferai pas comme si je n'avais rien entendu, et comme si personne n'était blessé par les "taquineries" de votre fille. Je la suspends immédiatement pour trois jours. Et j'espère que vous mettrez ces trois jours à profit pour lui expliquer qu'on ne se moque pas du statut social d'une personne, ni de la couleur de sa peau, ni de ses vêtements ou de sa famille, et qu'on n'insulte pas les gens, ni les enfants, ni les adultes. 

- Puisque vous le prenez ainsi, je rentre chez moi faire une plainte au ministère de l'éducation. Vous allez en entendre parler, croyez-moi.

Mme Olson est sortie en claquant la porte du bureau.

- Quelle femme épouvantable. Je me demande finalement si Amandine n'est pas encore plus à plaindre que Simon, se dit Mme Robinson en soupirant. 

À suivre.

 

Bonne journée :-)

♥♥♥

----------------------------

As she had announced to Amandine last Tuesday (see HERE), once back in her office, Mrs. Robinson, the school principal, immediately called Mrs. Olson to schedule another meeting about the little girl's discipline—or rather, indiscipline.

As with other meetings, Mrs. Olson canceled and rescheduled their appointment twice in a row, claiming she was overwhelmed with the unexpected events of running the supermarket. It was only this afternoon that she went to the school... without an appointment, even though she had called this morning to schedule one for Wednesday morning!

When she arrived, the mayor, James Walpole, was in Mrs. Robinson's office. When Mrs. Olson knocked and then entered without further ado, he stood up, greeted her, and then turned back to the principal, telling her they would continue their conversation later.

- Have a seat, Mrs. Olson. Give me a moment to bring up Amandine's file; since we weren't supposed to see each other until Wednesday, I hadn't prepared it.

- I suppose you wanted to see me again about Amandine? My little princess is a patient angel, given everything she has to endure because of her illness. I'm really annoyed that you're always complaining about her. It's obvious you don't know what it's like to be sick like she is, poor thing, stuck in her wheelchair while her friends can play and run around as they please ; she complains that they leave her alone in her corner during recess.

- Sit down, Ms. Olson, we're going to talk about Amandine, indeed. And rest assured, we're well aware of the difficulties you and Amandine are facing, and believe me, we've always taken them into account in our assessment and approach to your daughter. But as for the fact that her classmates leave her "all alone in her corner" during recess, that's largely her own fault, and you know that because I've already told you. Her attitude toward her classmates doesn't encourage them to be around her, Ms. Robinson replies calmly.

- What do you have against her this time?

- Nothing new except her indiscipline and impertinence, Ms. Olson, as always. As well as her verbal aggression. However, although you promised to confront her about it each time we met, the problem is getting worse." She makes fun of her classmates, their appearance or attire, and even their family members and their origins; she even went so far as to insult a newcomer classmate in front of me and utter a rude remark toward me.

- But I already told you that it's your job to let her know that's not right. I work, I'm not with her all day telling her what's done or what's said, or not; that's your job, not mine.

- No, Mrs. Olson! I've already explained it to you: it's up to you to teach her how to behave politely and respectfully in society; our job is to teach her academic subjects and apply sanctions if, unfortunately, she misbehaves."

- Sanctions! You're going too far. She's just a child!

- In the file sent to us by the children's hospital where she attended first grade, it states that she had numerous disciplinary and behavioral problems with her classmates. And the word "bullying" is even used in one of the substitute teacher's reports.

- Of course, that man didn't like Amandine. He was one of those immigrants who still want to punish children if they don't obey at school, and he couldn't stand it when she joked about this and that. It's a good thing he didn't last long.

- Ms. Olson, I don't want to pry into your political or social opinions, which are none of my business, but I think the fact that your daughter repeatedly told children at the hospital that they were... let's say politely "people of color" didn't just come to her. She must have heard it, that's why she kept repeating it to them. And in this case, for which I asked to meet with you, she insulted the new student by calling him a BES in front of me, and then later in the playground, where she repeated it at least 10 times, provoking the child's anger. Anger that was not tolerable, and which was reprimanded just as much as Amandine's behavior, which was also not tolerable.

- But come on, this kid you're talking about is definitely a BES... The mayor even came to ask me if I wanted to hire his drunkard father at the supermarket because his mother was 'tired' because she works two waitressing jobs... including one at a bar at night!

- Mrs. Olson, Simon's mother has just been hired to serve the school cafeteria. She will no longer have to work two waitressing jobs, which, I should point out, was not reprehensible because you have to support your family. And I think Mayor Walpole also explained to you the trauma Simon's father experienced, which caused him to plunge into depression and what followed, and why we must help him reintegrate as much as we can, to help him, and thus help his wife and the child.

Mrs. Olson jumps to her feet.

- Yes, yes, of course! We must help so-and-so, and so-and-so, and so-and-so, we must pay for them with our tax bills while they lounge around at home watching TV ! During I work from morning to night, six days a week, and I pay taxes to support these people who "need to be helped." And who's going to help me and worry about my worries, eh? I have a supermarket to run and bills to pay. And on top of that, I'm being harassed because my daughter enjoys teasing her classmates! Where are we going?

It's Mrs. Robinson's turn to stand up.

- Mrs. Olson, Amandine isn't just "teasing" her classmates, she's making fun of them, in a pretty nasty way, which is already unacceptable. What's more, she called a child she didn't even know yet, and therefore had nothing to blame, "BES," as you say. And to make matters worse, she called me an "old goat." What would you do if you were me?

- Come on, these are minor things, just childish jokes. Give her some conjugation exercises as punishment and move on. Amandine isn't mean, she just likes to laugh and joke. You shouldn't take her words literally: she says things to me at home, I just ignore them, that's all. She'll change when she grows up. The poor little thing, with her illness, doesn't really get a chance to have fun other than with her jokes and teasing. She tries to provoke her classmates to force them to play with her. The poor thing is so left out, all alone in a wheelchair. Just pretend you didn't hear anything, and everything will be fine.

- No, Ms. Olson, I won't pretend I didn't hear anything, and as if no one was hurt by your daughter's "teasing." I'm suspending her immediately for three days. And I hope you'll use those three days to explain to her that you don't make fun of a person's social status, the color of their skin, their clothing, or their family, , and that you don't insult people, neither children nor adults.

- Since that's how it is, I'm going home to file a complaint with the Department of Education. You'll hear about it, believe me.

Ms. Olson stormed out of the office.

- What a terrible woman. I'm finally wondering if Amandine isn't even more to be pitied than Simon, Ms. Robinson said to herself with a sigh.

To be continued.
 

Have a nice day :-)

♥♥♥

Commentaires
L
Il y a malheureusement des cas identiques dans la vraie vie, les enfants n'étant que le reflet de ce qui se passe à la maison que ce soit pour les mauvaises paroles ou les mauvais comportements. Mme Olsen n'a rien compris au "métier" de parent, c'est à elle d'inculquer les bonnes attitudes à sa fille même si celle-ci n'est pas gâtée à cause de son handicap. Les enfants savent comment se comporter et Amandine serait bien entourée si elle était plus gentille....... Comme tu le dis, c'est une histoire de poupée, espérons que dans le futur, il y aura de l'amélioration, mais on adore ce genre de scénette. Bises Martine
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L
J'attends la suite avec impatience!
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S
Quelle femme odieuse, exécrable, méprisante ! et quelle mère idem dans la vie courante avec sa fille quand elle s'en occupe en prétextant son handicap, c'est horrible, et Amandine réagit comme elle auprès des autres personnes ou enfants, sans éducation, avec des mots blessants comme sa mère, avec indifférence entre ce qui est bien et ce qui est mal , n'en connaissant pas la portée, c'est bien triste et que faire Mme Robinson !!!<br /> A suivre, je plains sincèrement Amandine mais comment l'aider à s'en sortir ?<br /> Bisous
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G
Il n'y a malheureusement pas grand chose à faire dans ce genre de situation ; les parents ont le droit d'élever leurs enfants dans leurs propres opinions, religieuses et politiques, opinions et croyances que les gamins gobent comme des mouches, et qui créent des conflits de castes dès l'enfance. <br /> Avec ça, on n'est pas près d'avoir la paix dans le monde ! <br /> Et toutes les Mme Robinson du monde sont obligées de laisser faire pour ne pas avoir des problèmes pour "ingérence" dans la vie familiale de leurs élèves. Elle peut juste punir, ou suspendre l'élève, mais ça ne changera rien à sa façon de penser, façonnée par sa mère.<br /> Il faudrait qu'il y ait un déclic quelconque, qui amènerait Amandine à découvrir un autre mode de vie que le sien... et ça, comme c'est une histoire, on peut espérer que ça arrivera un jour ou l'autre !<br /> Bonne soirée,<br /> Gros bisous :-)
M
Avoir une telle mère est une explication mais pas une excuse pour le comportement d'Amandine.<br /> Pas facile de remettre les pendules à l'heure et de trouver des sanctions qui soient profitables! Espérons que cette dernière le soit pour elle et sa mère.<br /> <br /> Bravo pour cette scène qui montre comme le métier d'enseignant est parfois si difficile.<br /> Doux mardi<br /> bises
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G
On peut l'espérer, mais comme je l'écrivais ci-dessus à Soizic, il faudrait qu'il y ait un déclic quelconque, qui amènerait Amandine à découvrir un autre mode de vie que le sien... et ça, comme c'est une histoire, on peut espérer que ça arrivera un jour ou l'autre !<br /> Bonne soirée :-)<br /> Bises
T
Quelle peste cette bonne femme !! Je trouve Mme Robinson bien trop gentille , je ne pense pas que trois jours de renvoi changent beaucoup de choses , cela va être trois jours à entendre sa mère se plaindre qu'on n'aime pas sa fille , qu'on la rejette à cause de son handicap et des BS qui eux ont tous les droits .... ETC Moi , j'aurai mis la peste d'Amandine chez les petits de maternelle , " tu n'es pas capable de te conduire comme une grande et bien retourne apprendre les bonnes manières de se comporter en groupe à l'école !! En maternelle !! Allez ZOU !! " <br /> <br /> Gros bisous du caillou .
Répondre
G
Tiens tiens, je vais suggérer ça à Mme Robinson parce que je voudrais bien voir la réaction de Mme Olson suite à ça !<br /> Gros bisous :-)
R
Cc Guyloup, <br /> La mère d'Amandine est vraiment désagréable, elle trouve le prétexte que sa fille<br /> Est dans un fauteuil, pour lui passé tout, ce n'est pas lui rendre service. <br /> Si elle était plus gentille les enfants joueraient sûrement avec elle.<br /> Mr Robinson a raison de l'exclure 3 jours, sa mère est une horrible femme.<br /> J'ai hâte de voir la suite.<br /> Bonne journée <br /> Bisous Yvette
Répondre
G
Merci Yvette ; c'est vrai que c'est une horrible femme, imbue de sa personne et égocentrique, alors sa fille prend exemple sur sa mère.<br /> Espérons pour elle qu'elle va changer ; on verra par la suite.<br /> Bonne soirée :-)<br /> Bises
P
Waouh ! Cette femme est une tête à claques. Comment Amandine pourrait être tolérante et gentille avec un exemple pareil. Me Olson devrait être un peu plus à l'écoute des autres et ne pas dire "fontaine, je ne boirais pas de ton eau", un problème est si vite arrivé ... Pauvre Amandine, elle est un peu comme Maïa (si je ne me trompe pas ...) toutes les deux ne sont pas gâtées avec leurs mères.<br /> Bonne journée
Répondre
G
Tu ne te trompes pas, c'est bien Maïa qui avait une mère horrible. Toutefois, Amandine a un père et une mère, donc aucune chance qu'elle puisse trouver un nouveau foyer comme Maïa.<br /> En effet, je ne souhaite pas à Mme Olson de se retrouver à devoir vivre des aides sociales, elle tomberait de haut (mais ça lui apprendrait à vivre !).<br /> Bonne soirée :-)
C
quelle horrible femme !!!
Répondre
G
Oui, je dois avouer que le personnage m'a un peu échappé et qu'elle est encore pire que je ne l'imaginais au départ !!<br /> Bonne soirée :-)<br /> Bises
M
Finalement, on se rend compte que Madame Olson est bien pire que sa fille ! C'est elle qui mériterait une bonne leçon comme, par exemple, perdre son travail du jour au lendemain, en chercher un autre et que personne ne veuille l'embaucher à cause de son caractère ; cela lui rabaisserait très vite son caquet. Elle se prend pour qui ? Qu'elle n'oublie pas que personne n'est irremplaçable !!!!!!!!!!<br /> Je plains les employés du supermarché qu'elle dirige.<br /> A quand le retour de balancier pour elle aussi ?<br /> Bises et bonne journée<br /> Martine
Répondre
G
C'est tout à fait vrai, elle mériterait de mordre de la poussière et de devoir vivre d'aides sociales pendant un temps, ça lui remettrait les idées en place (et encore, même peut être pas).<br /> En effet, ses employés ne doivent pas être à la noce tous les jours.<br /> Mais l'histoire n'est pas finie, tout peut arriver !<br /> Bonne soirée :-)<br /> Bises
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Franco-Canadienne, photographe et auteure d'histoires (pour enfants de 6 à 106 ans, et plus !) illustrées de photos réalisées avec des poupées et des décors, vêtements, meubles et accessoires miniature divers, collectés au fil du temps ou réalisés de mes mains (couture, tricot, broderie, bois, carton, pâte polymère...) et parfois ajout de graphisme digital dans le post-traitement des photos.
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