Mon trentième et dernier lutin... (....?!!!)... et les FEMMES !
Aujourd'hui est arrivé celui qui devrait (normalement !) être mon dernier lutin puisqu'il a arrondi le nombre total de mes pensionnaires à trente.
Il s'agit d'un petit lutin de 26 cm, moule Aiko, dont les yeux bleus en amande en font le parfait petit frère d'Andréa et Andréb.
Mes lutins sont donc 30 en tout : 15 filles et 15 garçons, car je suis pour la parité et pour la représentation égalitaire des (vraies) Femmes (avec un grand F) !
Pourquoi je dis cela ? Lire ci-dessous !
Bonne journée,
♥♥♥
Pourquoi je dis ça ? parce qu'encore un peu et nous devrons publier un avis de recherche pour retrouver le mot FEMME !
Vous savez, genre : mais où est donc passé le mot FEMME ? ... ah, eh bien, la dernière fois qu’il a été vu, il désignait la moitié de l’humanité mais il se déplace maintenant incognito sous différents pseudonymes, comme “personne avec un utérus” ou “personne qui a donné la vie à l'enfant”. Si vous le retrouvez, veuillez contacter le ou la ministre responsable de la Condition féminine !
Pour exemple, la semaine dernière, au Québec, un député a demandé d’enlever le mot FEMME du projet de loi 12 sur les mères porteuses "pour ětre plus inclusifs"...!
PAR CHANCE, une avocate spécialisée en droit des femmes, Christiane Pelchat l’a avalé de travers et s'est battue bec et ongles contre cette proposition.
«Ça a pris au moins 400 ou 500 ans avant que nous, les FEMMES, on soit visibles dans nos lois et dans nos politiques publiques. Donc ça serait un gros gros recul de faire disparaitre le mot FEMME !» a-t-elle dit.
Par chance encore, elle a convaincu 2 autres députés qui se sont alors opposés à cette proposition. Ce qui a entrainé tout un tintouin qui a finalement abouti à une très bonne décision : tous les élus de l'Assemblée Nationale ont ensuite adopté à l’unanimité une motion reconnaissant L'IMPORTANCE DE CONSERVER LE MOT FEMME DANS LES LOIS QUÉBÉCOISES..........
Mamma mia.... on n'est pas passées loin d'être gommées de nos lois et de disparaître
Je peux comprendre le désir, voire le besoin, d’inclusion de certaines minorités qui ont été maltraitées par le passé.. MAIS QUAND L'INCLUSION EXCLUE LES FEMMES, moi, je débarque du bateau.
https://www.journaldequebec.com/2023/04/25/un-recul-de-retirer-le-mot-femme-dune-loi