DES TOILETTES MIXTES ???...TROP, C'EST TROP.
Je ne sais pas si c'est (déjà) le cas chez vous, sinon, soyez-en averties Mesdames.... bientôt les toilettes publiques devront être MIXTES pour ne pas "choquer les susceptibilités" de ceux qui ne savent plus si ils sont d'un bord, de l'autre, ou des deux.
Oui oui oui. Ce n'est pas une blague, c'est tout ce qu'il y a de plus sérieux comme en témoigne cet article du journal québécois "le Journal de Montréal" (lire ICI) dans un article signé par une journaliste qui n'a pas du tout apprécié cette expérience.
Je vous copie-colle ses propos :
Pour accompagner la démarche identitaire de certains, les toilettes mixtes se multiplient. Des lieux publics, restaurants et établissements d’enseignement ont carrément aboli les lieux d’aisance genrés pour les remplacer par des installations où hommes et femmes sont obligés de se côtoyer. Contrainte d’en faire récemment la désagréable expérience, je boycotte maintenant les endroits qui méprisent les sensibilités des femmes pour collaborer avec les wokes à détruire la société.
Malaise
Les femmes, de nature complaisante, se taisent quant au malaise que cette mixité péremptoire provoque. Mais soyons clairs, la plupart d’entre elles abhorrent le concept. Pourtant, au nom de l’«inclusion», personne ne s’en soucie. Personne n’a jugé bon de s’enquérir de leur ressenti et de solliciter leur avis avant de changer les pictogrammes. On a fait triompher le bien-être d’une minorité au détriment de celui d’une vaste majorité.
Pourtant, les wokes adorent revendiquer des «safe space» pour se mettre à l’abri des idées qui les dérangent. Ils applaudissent également la ségrégation quand des emplois ou des événements sont réservés aux racisés, ou quand des institutions financières annoncent des prêts dédiés à la minorité en vogue. Là, ils célèbrent la division, car elle viendrait corriger une «injustice sociale». Soit!
Alors, rappelons à ces soi-disant éveillés que les femmes ne sont pas des citoyennes de seconde zone. Elles ont également droit à des lieux intimistes et sécuritaires qui respectent leur dignité, leur pudeur et leurs sensibilités. Les en priver, c’est nier leurs besoins, voire leur existence. N’est-ce pas là une immense injustice sociale?
Ce n’est d’ailleurs pas sans raison qu’Amnistie Internationale, l’Unicef et les Nations Unies considèrent que les toilettes genrées constituent un droit humain !
Idéologie
La politique identitaire woke divise là où il y a mixité. Et avec les toilettes non genrées, elle force la mixité là où la division s’impose. Quel sera le prochain délire woke? Des toilettes sans cloisons peut-être?
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Moi, je pose une question : jusqu'à quand allons nous les laisser mettre leur bordel dans notre société ? Jusqu'à quand allons nous les laisser détruire notre statut de FEMMES ?
Né dans les universités, où il est devenu l’idéologie dominante, le wokisme déferle maintenant dans les médias, les arts, la fonction publique et l’entreprise privée.
À l’origine, il partait d’un bon sentiment: la sensibilité aux difficultés vécues par des groupes historiquement marginalisés. Il pouvait donc avancer dissimulé derrière le très innocent:. Qui peut être contre ça ? Moi-même j'étais pour le mouvement woke quand il a commencé après l'assassinat de George Floyd par des policiers aux USA, créant le mouvement Black Lives Matter, c'était légitime et normal.
Le problème, c'est que ce mouvement woke a évolué... et mal évolué.... devenant carrément du pur délire.
Ce sont ses façons de fonctionner qui se sont mise à dériver sans aucun bon sens : la censure d’œuvres (ici, des livres sont brûlés), l’annulation de conférences si le sujet ou le conférencier ne convient pas au mouvement, le cyberharcèlement si une personne a dit involontairement ou non quelque chose qui ne plait pas au mouvement, la disparition des faits inconvenants comme un chat qui cache ses crottes (comme si faire disparaitre les preuves des mauvais faits du passé allait rattraper ce qu'ils ont généré !), la discrimination institutionnelle, la rééducation idéologique, le raisonnement circulaire («comme le problème est partout, si vous ne le voyez pas, c’est la preuve qu’il se cache»), etc.
On connaît ses principales manifestations: la sacralisation de quiconque n’a pas la peau blanche, la négation des fondements biologiques de la sexualité, la guerre aux hommes virils, le rejet des personnes hétérosexuelles, le rejet de la notion de famille, le rejet de la notion de parents, etc.
Puisqu’il fonctionne, pour l’essentiel, comme une religion, une de ses principales cibles est la liberté d’expression : on n'a plus le droit de penser comme on veut, non, on doit penser "woke".
Je peux comprendre qu’un jeune de 20 ans avale tout cela : à cet âge, on veut des certitudes, on se cherche des causes, on construit son identité, on a soif de pureté et d’absolu.
Mais il est plus troublant de voir des gens ayant franchi la cinquantaine adhérer à cette nouvelle religion. C'est que ces personnes veulent avoir l'air de "rester dans le coup" en imitant les jeunes ; ces personnes ont peur de paraitre vieux... alors ils adhèrent, ou font semblant d'adhérer" au nouveau discours à la mode. Certains ont carrément une peur panique de vieillir (notamment sur les campus universitaire et dans les entreprises à forte pression professionnelle) et plongent et propagent cette idéologie de la cancel culture pour faire comme les jeunes.
C'est pathétique, non ?!
Pour en revenir au sujet principal de mon message, à cause des woke, une fois de plus, c'est encore nous, les femmes, qui trinquons à nouveau et comme toujours, en perdant jour après jour un peu plus de notre identité féminine au profit d'une désexualisation de la société.
Il serait peut être temps de se lever et d'envoyer paître ce ridicule mouvement qui nous vole petit à petit notre état de femme, le faisant disparaitre de manière encore plus efficace et rapide que n'avaient jamais réussi à le faire les hommes depuis la nuit des temps.
Amitiés à vous toutes, mes soeurs, pendant que nous existons encore.
Guylaine (Guyloup)
PS : n'hésitez pas à partager cet article autour de vous... plus nous serons de femmes à refuser de disparaitre et plus nous aurons de chances d'être encore "existantes" dans quelques décennies, ou même avant au train où avance ce ridicule mouvement de desexualisation appelé "dégenrage".